Promotions publiques, privées des logements de demain
RetourLutter contre le confinement à domicile en n’oeuvrant plus au seul maintien à domicile mais bien au maintien sur son lieu de vie
Commanditaire
commanditaires publics et privés
Mission d'AMO
Inviter tous les acteurs du projet à se poser, le plus en amont possible, les questions d’us-âges qui permettront d’anticiper TOUTES les attentes conscientes et inconscientes de TOUS usagers-habitants biophiles, philocales, additionnels et pluriels à travers leurs Us et leurs âges.
Besoins réels et inconscients
Participer à améliorer la qualité de vie de notre environnement en prenant en compte les 4 dimensions de l’Homo sapiens (Bio-Phi-Add-Plu), dans 4 domaines d’interventions (Orga-bâti-Techno-Humain), à 4 principales échelles territoriales (3m, 30m, 300m,1000m), pour rendre moins nécessaire de tout miser sur l’assistance publique ou familiale.
Aussi une manière de réaliser des économies d’échelles conséquentes pour la société.
Méthodologie
Le logement obéit encore à la même logique de fragmentation par fonction : séjour, cuisine, 2 chambres et couloir. Il coûte cher sans couvrir tous les besoins, car il était pensé autour d’une famille de 2 adultes, père actif, mère active ou au foyer et 1 à 2 enfants alors que ce schéma ne représente plus la norme.
Or, la réponse ne se trouve pas dans la règle mais dans l’exception, la particularité de chacun, de chaque territoire et l’évolution sociaux-démographique de villes qui nient encore trop souvent les besoins biophiles, philocales, additionnels et pluriels d’habitats habités d’habitants en pleine mutation.
""Osons bousculer nos métiers de l’intérieur, osons en changer les paradigmes, osons nous réinventer""
Le plus
Nous défendons 100 % de lieux de vie évolutifs à partager, dans les logements, mais aussi dans les communs, au moyen de programmes d’Us-âges, dans les espaces publics partagés (communs, pieds d’immeubles, paliers, escaliers, ascenseurs) et intimes partagés, dans les 3 mètres, le premier triangle de déplacements, les 30 mètres, les 300 mètres et le dernier kilomètre.
L'anecdote
Certes, lisser le complexe et le subtil a permis d’aller plus vite, au plus simple, mais cela nous a fait perdre en Humanité, en biodiversité et en qualité de vie. Or, traiter correctement des Us à travers les âges exige de commencer par reconsidérer l’Homo-sapiens que nous sommes, dans toutes ses dimensions : biophile, philocale, additionnelle et plurielle.
Or penser améliorer la qualité de vie de l’Habitant en oubliant de traiter de l’une de ces dimensions, c’est assurément, en subir les conséquences négatives à moyen, long terme.
L'écueil persistant
LA problématique que nous soulevons pose, préalablement, la question de la définition de l’Humain, qui, mal défini, est mal considéré.
La construction de nombreuses structures-aménagements neufs font encore fie du besoin additionnel d’occupants encrés dans un territoire, déplacés malgré eux, sous prétexte que l’on a traité leurs besoins d’us-âges pluriels, souvent sans répondre non plus à leurs besoins biophiles conscients ou inconscients.